Frédéric ANGLES

C’est avec une profonde tristesse que j’ai appris la disparition de Frederic.

Je garderai de lui le souvenir d’un homme d’une grande simplicité, toujours de bonne humeur, avec ce sourire sincère qui mettait à l’aise ceux qui l’entouraient.

De part mon ancien travail, j’ai eu la chance de rencontrer le couple uni que vous formiez, et cela m’avait marqué : on sentait l’entente, la douceur et le respect entre vous.

En ces moments douloureux, je vous adresse mes pensées les plus sincères et tout mon soutien.

Qu’il repose en paix.

J ai été literalement abasourdie par le décès de Fred ,collègue de travail et ami,c était un bon camarade ,je garde un souvenir émouvant de Fred toujours à 200 à l heure.
Sincère condoléance à toutes sa famille
Repose en paix camarade

Sandrine, Alexandre, je vous présente mes plus sincères condoléances, et je m’associe pleinement à la peine qui vous touche.
J’ai eu la chance de croiser la route de Frédéric au 126 à Brive, où il a été mon sous-officier adjoint lors de l’incorporation en 1999, jusqu’au séjour au Liban, en passant par les centres commandos ou les évaluations en tous genres.
Je retiens son sens de l’humain, son côté débrouille pour l’intérêt commun, son humilité et sa gentillesse, en plus d’être un adjoint fidèle et loyal.
Nul doute qu’il aura marqué les esprits et participé à façonner celui que je suis devenu.

Même si nos rencontres ont été rares, je garde un très bon souvenir de vous.
J’apporte tout mon soutien à Sandrine et Alexandre.

Mon cher papa,

Le 23 mai 1967, ce monde a vu naître le meilleur et le plus courageux des papas. Pour moi, tu étais plus qu’une figure paternelle, tu étais mon modèle.

Dès l’âge de 21 ans, tu t’es engagé dans l’armée, prêt à donner ta vie pour ton pays. C’est l’exemple parfait de ton caractère et de ton courage. C’est à l’armée que, au fil du temps, tu as su t’imposer, là aussi, comme un modèle pour tes camarades. Tu as toujours été très respecté par eux et apprécié par ta hiérarchie.

Tu as mené d’innombrables combats : l’armée, la perte de tes parents… Mais le combat le plus dur a été celui face à la maladie, et face à toi-même. Avec maman, nous avons toujours fait tout ce qui était possible pour t’aider, mais ce dernier combat a été trop difficile à gagner.

Avec maman, tu as découvert ta passion pour la marche, dans laquelle tu as trouvé de nombreux amis qui t’appréciaient pour la personne que tu étais.

Tu étais quelqu’un de généreux, sensible et à la fois très pudique. Tu aimais donner, mais tu détestais recevoir.

Tu as toujours dit que tu étais fier d’avoir un fils, et ton fils est fier, lui, de t’avoir eu comme papa. Je suis fier de toutes les valeurs que tu m’as transmises et de tout ce que tu m’as appris durant mon enfance.

Mon plus grand regret est que tu ne seras pas présent pour les événements les plus importants de ma vie. Je ressens déjà ton absence à mes côtés pour mon mariage, et je regrette que tu ne connaîtras jamais tes petits-enfants. Mais une chose est sûre : durant tous ces événements, je me poserai deux questions — Est-ce que mon papa me voit ? Est-ce que mon papa est fier de moi ?

Nul doute, je suis ton fils : pudique et discret sur ses sentiments. On se disait « je t’aime » à notre façon — par des messages, des appels ou d’autres marques d’affection. Mais ce jour est différent. Alors, mon soldat, mon papa… je t’aime.

Alexandre.

Toutes mes condoléances à la famille

Fred m’a accueilli au 126 en 1999. J’étais jeune sergent et il a montré une très grande patience et une bienveillance exceptionnelle. Il m’a formé peu à peu et m’a fait grandir. Il apportait spontanément son aide aux autres sans jamais rien demander en retour. Je regrette profondément que nos routes se soient écartées au grès des mutations mais je garderai le souvenir d’un homme bon, efficace et qui travaillait pour la collectivité et non pour lui-même. Je souhaite bon courage à Sandrine et Alexandre dans ces instants douloureux.

Fred, tu es parti bien trop tôt ! Pour nous, tu resteras l'ami sur lequel nous pouvions compter. Nous n'oublierons jamais nos balades, nos rencontres où nous refaisions le monde.
Merci pour ta gentillesse et ta droiture.
Tu seras toujours présent sur nos sentiers et dans nos coeurs.
Toutes nos pensées vont vers ton épouse et ton fils.

La randonnée était ta passion, il fallait souvent s'accrocher pour pouvoir te suivre, surtout pour la miss Prada avec ces petites pattes qui marchait toujours aux pieds de son maître. Que de bons moments et ces quelques photos pour ne pas oublier.

Frédéric, nous sommes tellement tristes de ton départ après tant de courage face à la maladie. Nous gardons de toi ta gentillesse et l’humour dont tu nous régalais dans tes commentaires de geocaching. Courage à toi Sandy ainsi qu’à ton fils.